Coco. Mon nom est coco…

C’est l’italien Antonio Pigafetta qui en donne une description exacte en 1521. Chroniqueur de bord du Capitaine Magellan lors de son tour du monde, il est l’un des 18 survivants de cette expédition exceptionnelle.

Dans son journal de bord, celui-ci dépeint avec minutie les peuples qu’ils rencontrent, leurs coutumes et leurs langues. Et notamment, comment les habitants des actuelles Phillipines et de Guam, consomment des « cocho / cochi » et s’enduisent entre autre le corps et les cheveux de son huile. Il qualifie d’ailleurs l’eau de coco comme « une eau claire et douce, au milieu de cette substance moelleuse [la chair de coco fraîche] qui est très rafraîchissante ».

Il semble donc que l’utilisation du nom « coco » ce soit historiquement généralisé depuis cette rencontre entre les peuples indigènes, et ces européens (Magellan était portugais, Pigafetta italien, et son équipage majoritairement espagnol bien que composé de multiples nationalités).

Cela ne nous dis pas pourquoi cela s’appelle « Coco »?

Chez Vaïvaï nous aimons croire à l’histoire selon laquelle le mot « Coco » viendrait des marins portugais constituant l’équipage de l’explorateur Vasco de Gama. Ce dernier fût en effet le premier à ramener les noix de coco, des Indes jusqu’en Europe, prêt de 10 ans avant le tour du monde de Magellan et 500 ans avant Vaïvaï !

Les noix de coco et leurs 3 « yeux », leur auraient rappelé un effrayant souvenir d’enfance. La tête grimaçante et effrayante de « Coco » ou « Cocâ », sorte de croquemitaine portugais invoqué pour faire obéir les enfants, sous peine d’être dévoré !